White Flag incident
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Le massacre des chefs tamouls en 2009 est le massacre des chefs des Tigres de libération de l'Îlam tamoul (LTTE) et de leurs familles qui se sont rendus à l'armée sri-lankaise le 18 mai 2009 à (en), Mullaitivu et (en), au Sri Lanka. Le chef de l'aile politique du LTTE, (en) et (en) ont accepté de se rendre et ont contacté les Nations unies, les gouvernements de la Norvège, du Royaume-Uni, des États-Unis et le Comité international de la Croix-Rouge. Ils ont reçu l'assurance de Mahinda Rajapaksa, Premier ministre du Sri Lanka, et (en) leur a dit de se rendre à un endroit particulier. La demande des LTTE d'un tiers témoin pour superviser la reddition n'a pas été accordée par le gouvernement sri-lankais. Les LTTE se sont rendus à la (en) (Sri Lanka) portant des drapeaux blancs et auraien
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The White Flag incident is the massacre of surrendering leaders of the Liberation Tigers of Tamil Eelam and their families by the Sri Lankan Army on 18 May 2009 in Mullivaikal, Mullaitivu, Vanni, Sri Lanka. The LTTE's Political Wing leader, Balasingham Nadesan and Pulidevan agreed to surrender and contacted the United Nations, the governments of Norway, United Kingdom, United States and the International Committee of the Red Cross. They were given assurance by Mahinda Rajapaksa, the Prime Minister of Sri Lanka, and told to surrender at a particular place by Basil Rajapakse. LTTE's request for a third party witness to oversee the surrender was not granted by the Sri Lankan government. The LTTE surrendered to the 58 Division (Sri Lanka) carrying white flags and were reportedly shot dead. Sar
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Massacre des chefs tamouls en 2009
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White Flag incident
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Le massacre des chefs tamouls en 2009 est le massacre des chefs des Tigres de libération de l'Îlam tamoul (LTTE) et de leurs familles qui se sont rendus à l'armée sri-lankaise le 18 mai 2009 à (en), Mullaitivu et (en), au Sri Lanka. Le chef de l'aile politique du LTTE, (en) et (en) ont accepté de se rendre et ont contacté les Nations unies, les gouvernements de la Norvège, du Royaume-Uni, des États-Unis et le Comité international de la Croix-Rouge. Ils ont reçu l'assurance de Mahinda Rajapaksa, Premier ministre du Sri Lanka, et (en) leur a dit de se rendre à un endroit particulier. La demande des LTTE d'un tiers témoin pour superviser la reddition n'a pas été accordée par le gouvernement sri-lankais. Les LTTE se sont rendus à la (en) (Sri Lanka) portant des drapeaux blancs et auraient été abattus. Sarath Fonseka, alors chef de l'armée sri-lankaise, a déclaré qu'ils avaient été abattus sur ordre de Gotabaya Rajapaksa à (en), commandant de la 58e division (Sri Lanka). Balachandran Prabhakaran, le fils de 12 ans de Prabhakaran, (en) après s'être rendu avec ses gardes du corps. Un panel de l'ONU a déclaré que les dirigeants du LTTE avaient l'intention de se rendre. Le gouvernement sri-lankais a nié toute accusation d'acte répréhensible.
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The White Flag incident is the massacre of surrendering leaders of the Liberation Tigers of Tamil Eelam and their families by the Sri Lankan Army on 18 May 2009 in Mullivaikal, Mullaitivu, Vanni, Sri Lanka. The LTTE's Political Wing leader, Balasingham Nadesan and Pulidevan agreed to surrender and contacted the United Nations, the governments of Norway, United Kingdom, United States and the International Committee of the Red Cross. They were given assurance by Mahinda Rajapaksa, the Prime Minister of Sri Lanka, and told to surrender at a particular place by Basil Rajapakse. LTTE's request for a third party witness to oversee the surrender was not granted by the Sri Lankan government. The LTTE surrendered to the 58 Division (Sri Lanka) carrying white flags and were reportedly shot dead. Sarath Fonseka, then the Sri Lankan Army Chief stated that they had been shot dead on the orders of Gotabhaya Rajapaksa to Shavendra Silva, commander of the 58 Division (Sri Lanka). Balachandran Prabhakaran, Prabhakaran's 12-year-old son, was also killed after surrendering along with his bodyguards. A UN Panel states the LTTE leaders intended to surrender. The Sri Lankan government has denied any accusations of wrongdoing.
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