She-tragedy
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The term she-tragedy, also known as pathetic tragedy refers to a vogue in the late 17th and early 18th centuries for tragic plays focused on the sufferings of a woman, sometimes innocent and virtuous but often a woman who had committed some sort of sexual sin. Prominent she-tragedies include Thomas Otway's The Orphan (1680), John Banks' (1682), Thomas Southerne's The Fatal Marriage (1694), Mary Pix's Ibrahim, the Thirteenth Emperor of the Turks and Nicholas Rowe's The Fair Penitent (1703) and Lady Jane Grey (1715). Rowe was the first to use the term "she-tragedy," in 1714.
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El término inglés she-tragedy, que puede traducirse como tragedia femenina, se refiere a una serie de obras que estaban de moda a finales del siglo XVII y principios del XVIII. Fue acuñado por el dramaturgo Nicholas Rowe en 1714. Eras obras de teatro trágicas que se centraban en los sufrimientos de una mujer inocente y virtuosa. Entre las tragedias femeninas destacadas pueden citarse: La huérfana (1680) de Thomas Otway, El infeliz favorito o El conde de Essex (1981) y La virtud traicionada, o Ana Bolena (1682), ambos de John Banks, El matrimonio fatal (1694) de Thomas Southerne y La bella penitentet (1703) y Lady Jane Grey (1715) de Rowe.
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La tragédie féminine (en anglais « she-tragedy ») désigne un genre théâtral en vogue en Angleterre à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe, qui mettait en scène les malheurs d'une héroïne innocente et vertueuse. Parmi les tragédies féminines marquantes, on peut citer : The Orphan or the Unhappy Marriage (L'Orpheline ou le Mariage malheureux) de Thomas Otway en 1680, Virtue Betrayed, or, Anna Bullen de John Banks en 1682, The Fatal Marriage (Le Mariage Fatal, ou l'Adultère Innocent) de Thomas Southerne en 1694, et The Fair Penitent (La Pénitente juste) en 1703 et The Tragedy of Lady Jane Grey (La Tragédie de Lady Jane Grey) en 1715 de Nicholas Rowe. C'est ce dernier qui utilisa pour la première fois le terme « tragédie féminine » en 1714.
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Tragedia femenina
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Tragédie féminine
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El término inglés she-tragedy, que puede traducirse como tragedia femenina, se refiere a una serie de obras que estaban de moda a finales del siglo XVII y principios del XVIII. Fue acuñado por el dramaturgo Nicholas Rowe en 1714. Eras obras de teatro trágicas que se centraban en los sufrimientos de una mujer inocente y virtuosa. Entre las tragedias femeninas destacadas pueden citarse: La huérfana (1680) de Thomas Otway, El infeliz favorito o El conde de Essex (1981) y La virtud traicionada, o Ana Bolena (1682), ambos de John Banks, El matrimonio fatal (1694) de Thomas Southerne y La bella penitentet (1703) y Lady Jane Grey (1715) de Rowe. Cuando el teatro inglés renació en 1660 con la reapertura de los teatros de la Restauración inglesa, el estilo trágico predominante fue el drama heroico masculino, que elogiaba a los héroes masculino poderosos y agresivos, y su búsqueda de la gloria, como gobernantes y conquistadores, así como amantes. En las décadas de los años 1670 y 1680, tuvo lugar un cambio gradual de la tragedia heroica a la patética, en la que el tema central era el amor y los asuntos domésticos, aun cuando los principales personajes fueran figuras públicas. Después del extraordinario éxito de Elizabeth Barry al llevar al público a las lágrimas en el papel de Monimia en la obra de Otway The Orphan, la tragedia femenina se convirtió en la forma dominante de la tragedia patética y siguió siendo muy popular durante casi medio siglo. El nuevo foco sobre las mujeres en la tragedia puede asociarse con una creciente desilusión política con la vieja ideología aristocrática y sus ideales masculinos tradicionales (véase Staves). Otra posible explicación para el gran interés que despertó la tragedia femenina es la popularidad de María II, quien a menudo gobernó sola durante los años 1690 mientras su marido Guillermo III estaba en el Continente, y la publicación del periódico El espectador (1711), dirigido también a las mujeres. Elizabeth Howe ha señalado que la explicación más importante en el cambio de gustos es la emergencia de actrices trágicas cuya popularidad hacía inevitable que los dramaturgos crearan papeles principales para ellas. Con la conjunción del dramaturgo "maestro del pathos" Thomas Otway y la gran trágica Elizabeth Barry en The Orphan, el foco se trasladó con decisión del héroe a la heroína.
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La tragédie féminine (en anglais « she-tragedy ») désigne un genre théâtral en vogue en Angleterre à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe, qui mettait en scène les malheurs d'une héroïne innocente et vertueuse. Parmi les tragédies féminines marquantes, on peut citer : The Orphan or the Unhappy Marriage (L'Orpheline ou le Mariage malheureux) de Thomas Otway en 1680, Virtue Betrayed, or, Anna Bullen de John Banks en 1682, The Fatal Marriage (Le Mariage Fatal, ou l'Adultère Innocent) de Thomas Southerne en 1694, et The Fair Penitent (La Pénitente juste) en 1703 et The Tragedy of Lady Jane Grey (La Tragédie de Lady Jane Grey) en 1715 de Nicholas Rowe. C'est ce dernier qui utilisa pour la première fois le terme « tragédie féminine » en 1714. Lors de la renaissance du théâtre anglais en 1660, lorsque les salles furent autorisées à rouvrir, le style tragique prépondérant était le drame héroïque, qui célébrait le héros masculin en quête de gloire, monarque ou conquérant, puissant, agressif et aussi amoureux. Dans les années 1670 et 1680, il se produisit un glissement progressif de la tragédie héroïque vers la tragédie pathétique, dont le sujet était l'amour et les soucis domestiques, même lorsque les personnages principaux étaient des personnalités connues. Après l'immense succès d'Elizabeth Barry, qui avait ému le public aux larmes dans le rôle de Monimia dans L'Orpheline d'Otway, la tragédie féminine devient la principale forme de la tragédie pathétique, et elle resta extrêmement populaire pendant près d'un demi-siècle. « Les personnages n'en sont ni des rois, ni des héros et la voix de la douleur s'y fait mieux entendre et obéir que les lois dictées par les obligations d'une haute naissance ». Ce nouvel intérêt pour les femmes dans la tragédie peut être lié à la désillusion politique croissante de l'ancienne idéologie aristocratique et de ses idéaux masculins traditionnels. D'autres explications possibles à la grande vogue de la tragédie féminine sont la popularité de Marie II, qui dut souvent régner seule dans les années 1690, lorsque son mari Guillaume III était sur le continent, et la publication de The Spectator, le premier périodique destiné aux femmes. Elizabeth Howe a soutenu que la raison primordiale du changement dans le goût du public fut l'apparition de tragédiennes, dont la popularité rendit inévitable la création de premiers rôles pour elles. Grâce à la conjonction du dramaturge « maître du pathos », Thomas Otway, et de la grande tragédienne, Elizabeth Barry, dans L'Orpheline, le centre d'intérêt passa du héros à l'héroïne.
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The term she-tragedy, also known as pathetic tragedy refers to a vogue in the late 17th and early 18th centuries for tragic plays focused on the sufferings of a woman, sometimes innocent and virtuous but often a woman who had committed some sort of sexual sin. Prominent she-tragedies include Thomas Otway's The Orphan (1680), John Banks' (1682), Thomas Southerne's The Fatal Marriage (1694), Mary Pix's Ibrahim, the Thirteenth Emperor of the Turks and Nicholas Rowe's The Fair Penitent (1703) and Lady Jane Grey (1715). Rowe was the first to use the term "she-tragedy," in 1714.
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