Morvarc'h
http://dbpedia.org/resource/Morvarc'h
Morvarc’h (en bretón: «caballo de mar») es el nombre de un caballo fantástico del folclore bretón, presente en cuentos y leyendas. Si bien su nombre aparece en fuentes más antiguas, está re-interpretado por Charles Guyot, que lo nombra Morvark en su versión de la leyenda de la ciudad de Ys en 1926. Pertenece a la «reina del norte» Malgven, que se lo regala a su esposo el rey Gradlon. Dotado de la facultad de galopar sobre las olas, Morvarc'h está descrito como cubierto de sombras y expira llamas por las fosas nasales. Aparece también en un cuento popular bretón de la leyenda del rey Marc’h de Cornualles. Durante una cacería el caballo muere por una flecha de su dueño, pero Dahud, la hija de Malgven, le resucita con uno de sus sortilegios.
rdf:langString
Morvarc'h (Breton for "sea horse") is the name of a fabulous horse of Breton legend found in two folktales reworked in the 19th and 20th centuries. Though its name appears in older sources, it was invented or reinterpreted by Charles Guyot, who named it Morvark in his version of the legend of the city of Ys in 1926. It belongs to the "Queen of the North" Malgven, who gives it to her husband King Gradlon. Endowed with the ability to gallop on the waves, Morvarc'h is described as having a black coat and as breathing flames through its nostrils. It also appears in a Breton folktale about King Marc'h of Cornouaille. In the course of a deer hunt it is killed by its own rider's arrow, which has been turned around by the spell of Dahud, the daughter of Malgven. She then puts the ears of the horse
rdf:langString
Morvark Morvarc'h La fuite du roi Gradlon, selon Évariste-Vital Luminais, vers 1884, musée des beaux-arts de Quimper. Le cheval de droite est censé être Morvarc'h. Morvarc’h (en breton : « cheval de mer ») est un cheval fantastique du légendaire breton, présent dans deux contes et légendes recomposés aux XIXe et XXe siècles. Si son nom apparaît dans des sources plus anciennes, il est inventé ou réinterprété par Charles Guyot, qui le nomme Morvark dans sa version de la légende de la ville d’Ys en 1926. Il appartient à la « reine du nord » Malgven, qui en fait don à son époux le roi Gradlon. Doué de la faculté de galoper sur les flots, Morvarc'h est décrit avec une robe noire, expirant des flammes par les naseaux.
rdf:langString
rdf:langString
Morvarc'h
rdf:langString
Morvarc'h
rdf:langString
Morvarc'h
xsd:integer
59998311
xsd:integer
1047877632
rdf:langString
right
rdf:langString
#E0E6F8
rdf:langString
"Morvark, this is the master I have chosen. Take us over the sea to his ships. You are more rapid than the wind, you laugh at the waves, you outstrip the storms, the sea-eagle wears out his tireless wings pursuing you.
rdf:langString
padding:1.2em
rdf:langString
Excerpt from The Legend of the City of Ys by Charles Guyot
xsd:integer
220
rdf:langString
Morvarc’h (en bretón: «caballo de mar») es el nombre de un caballo fantástico del folclore bretón, presente en cuentos y leyendas. Si bien su nombre aparece en fuentes más antiguas, está re-interpretado por Charles Guyot, que lo nombra Morvark en su versión de la leyenda de la ciudad de Ys en 1926. Pertenece a la «reina del norte» Malgven, que se lo regala a su esposo el rey Gradlon. Dotado de la facultad de galopar sobre las olas, Morvarc'h está descrito como cubierto de sombras y expira llamas por las fosas nasales. Aparece también en un cuento popular bretón de la leyenda del rey Marc’h de Cornualles. Durante una cacería el caballo muere por una flecha de su dueño, pero Dahud, la hija de Malgven, le resucita con uno de sus sortilegios. La leyenda de Morvac'h que es de Cornualles, ha inspirado estatuas équestres en el municipio de Argol y sobre la catedral Santa-Corentin de Quimper.
rdf:langString
Morvarc'h (Breton for "sea horse") is the name of a fabulous horse of Breton legend found in two folktales reworked in the 19th and 20th centuries. Though its name appears in older sources, it was invented or reinterpreted by Charles Guyot, who named it Morvark in his version of the legend of the city of Ys in 1926. It belongs to the "Queen of the North" Malgven, who gives it to her husband King Gradlon. Endowed with the ability to gallop on the waves, Morvarc'h is described as having a black coat and as breathing flames through its nostrils. It also appears in a Breton folktale about King Marc'h of Cornouaille. In the course of a deer hunt it is killed by its own rider's arrow, which has been turned around by the spell of Dahud, the daughter of Malgven. She then puts the ears of the horse Morvarc'h on the head of King Marc'h, who seeks in vain to hide them. The legend of Morvarc'h being from Cornouaille in Brittany, it is the subject of equestrian statues in the town of Argol and in Saint Corentin's Cathedral in Quimper. Folklore connects it with the village of Pouldreuzic. Linked to the water like many Celtic horses, Morvarc'h reappears in more recent works composed around the legend of the drowned city of Ys, among which are novels by , André Le Ruyet and , and a song by Dan Ar Braz.
rdf:langString
Morvark Morvarc'h La fuite du roi Gradlon, selon Évariste-Vital Luminais, vers 1884, musée des beaux-arts de Quimper. Le cheval de droite est censé être Morvarc'h. Morvarc’h (en breton : « cheval de mer ») est un cheval fantastique du légendaire breton, présent dans deux contes et légendes recomposés aux XIXe et XXe siècles. Si son nom apparaît dans des sources plus anciennes, il est inventé ou réinterprété par Charles Guyot, qui le nomme Morvark dans sa version de la légende de la ville d’Ys en 1926. Il appartient à la « reine du nord » Malgven, qui en fait don à son époux le roi Gradlon. Doué de la faculté de galoper sur les flots, Morvarc'h est décrit avec une robe noire, expirant des flammes par les naseaux. Ce cheval apparaît aussi dans un conte populaire breton tiré de la légende du roi Marc’h de Cornouaille. Monté lors d'une chasse à la biche, il est tué par la flèche de son propre cavalier, qui fait demi-tour sous l'effet d'un sortilège de Dahud, la fille de Malgven. Elle fait ensuite pousser les oreilles du cheval Morvarc'h sur la tête du roi Marc'h, qui cherche en vain à les cacher. La légende de Morvarc'h étant cornouaillaise, il inspire des statues équestres dans la commune d'Argol et sur la cathédrale Saint-Corentin de Quimper. Un toponyme lui serait dû à Pouldreuzic. Lié à l'eau comme bon nombre de chevaux celtiques, Morvarc'h réapparaît dans des œuvres plus récentes composées autour de la légende de la ville d'Ys, parmi lesquelles des romans de Gordon Zola, André Le Ruyet et Suzanne Salmon, ainsi qu'une chanson de Dan Ar Braz.
xsd:nonNegativeInteger
24128