Joseph Stalin and antisemitism

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· Ο αντισημιτισμός του Ιωσήφ Στάλιν είναι ιστορική άποψη που μελετήθηκε και αναπτύχθηκε από αρκετούς, δυτικούς κυρίως, ιστορικούς. Η άποψη αυτή θεωρεί ότι η στάση του Ιωσήφ Στάλιν και σε προσωπικό αλλά κυρίως σε ηγετικό επίπεδο απέναντι στους σοβιετικούς Εβραίους ήταν - το λιγότερο - αντιφατική: Παρόλο που ο ίδιος ήταν μέρος ενός επαναστατικού κόμματος και ενός πολιτικού συστήματος που περιλάμβανε πολλούς Εβραίους και σε σημαντικές μάλιστα θέσεις και καταδίκαζε τον αντισημιτισμό, παράλληλα επεδείκνυε φιλύποπτη και ρατσιστική στάση απέναντι τους σε διάφορες περιπτώσεις. rdf:langString

Pertanyaan tentang bagaimana sikap antisemitik Joseph Stalin telah menjadi bahasan yang luas oleh para sejarawan. Pada saat yang sama, contoh-contoh sikap antisemitisme dari Stalin telah disaksikan oleh orang-orang sezamannya dan didokumentasikan oleh sumber-sumber sejarah. Boris Bazhanov, sekretaris pribadi Stalin yang telah membelot ke Prancis pada tahun 1928, menulis memoar yang kritis terhadap Stalin pada tahun 1930, ia menuduh bahwa Stalin membuat ledakan antisemit yang kasar bahkan sebelum kematian Lenin. rdf:langString

La expresión antisemitismo estalinista designa una de las formas históricas del antisemitismo que fue también una de las derivas ideológicas del estalinismo, un instrumento de promoción del patriotismo soviético de preponderancia rusa, manifestado a través de los eslóganes y de los actos antisemitas no sistemáticos y no obsesivos (contrariamente al régimen nazi) según los intereses y los recelos del régimen. En las grandes purgas militares de los años 1937-1938, hubo judíos entre las víctimas, pero el terror estalinista no apuntaba directamente a los judíos de forma específica. rdf:langString

The accusation that Joseph Stalin was antisemitic is much discussed by historians. Although part of a movement that included Jews and rejected antisemitism, he privately displayed a contemptuous attitude toward Jews on various occasions that were witnessed by his contemporaries, and are documented by historical sources. In 1939, he reversed Communist policy and began a cooperation with Nazi Germany that included the removal of high profile Jews from the Kremlin. As dictator of the Soviet Union, he promoted repressive policies that conspicuously impacted Jews shortly after World War II, especially during the anti-cosmopolitan campaign. At the time of his death, Stalin was planning an even larger campaign against Jews. According to his successor Nikita Khrushchev, Stalin was fomenting the do rdf:langString

L'expression antisémitisme stalinien désigne l'une des formes historiques de l'antisémitisme, qui est aussi l'une des dérives idéologiques du stalinisme : c'est l'un des instruments de la promotion du patriotisme soviétique à dominante russe, manifesté à travers des slogans et des actes antisémites non-systématiques et non obsessionnels (à la différence des régimes nazi et satellites) au gré des intérêts et des méfiances du régime, qui se servait des Juifs comme de tous les autres, pour en sacrifier ensuite comme il en a sacrifié bien d'autres. Ainsi lors des grandes purges militaires en 1937-1938, il y eut des Juifs parmi les victimes, mais « la terreur stalinienne ne visait pas les Juifs de façon spécifique, principale ou préférentielle ». Contrairement à leur statut dans les pays de l'E rdf:langString

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rdf:langString · Ο αντισημιτισμός του Ιωσήφ Στάλιν είναι ιστορική άποψη που μελετήθηκε και αναπτύχθηκε από αρκετούς, δυτικούς κυρίως, ιστορικούς. Η άποψη αυτή θεωρεί ότι η στάση του Ιωσήφ Στάλιν και σε προσωπικό αλλά κυρίως σε ηγετικό επίπεδο απέναντι στους σοβιετικούς Εβραίους ήταν - το λιγότερο - αντιφατική: Παρόλο που ο ίδιος ήταν μέρος ενός επαναστατικού κόμματος και ενός πολιτικού συστήματος που περιλάμβανε πολλούς Εβραίους και σε σημαντικές μάλιστα θέσεις και καταδίκαζε τον αντισημιτισμό, παράλληλα επεδείκνυε φιλύποπτη και ρατσιστική στάση απέναντι τους σε διάφορες περιπτώσεις.

rdf:langString The accusation that Joseph Stalin was antisemitic is much discussed by historians. Although part of a movement that included Jews and rejected antisemitism, he privately displayed a contemptuous attitude toward Jews on various occasions that were witnessed by his contemporaries, and are documented by historical sources. In 1939, he reversed Communist policy and began a cooperation with Nazi Germany that included the removal of high profile Jews from the Kremlin. As dictator of the Soviet Union, he promoted repressive policies that conspicuously impacted Jews shortly after World War II, especially during the anti-cosmopolitan campaign. At the time of his death, Stalin was planning an even larger campaign against Jews. According to his successor Nikita Khrushchev, Stalin was fomenting the doctors' plot as a pretext for further anti-Jewish repressions.

rdf:langString La expresión antisemitismo estalinista designa una de las formas históricas del antisemitismo que fue también una de las derivas ideológicas del estalinismo, un instrumento de promoción del patriotismo soviético de preponderancia rusa, manifestado a través de los eslóganes y de los actos antisemitas no sistemáticos y no obsesivos (contrariamente al régimen nazi) según los intereses y los recelos del régimen. En las grandes purgas militares de los años 1937-1938, hubo judíos entre las víctimas, pero el terror estalinista no apuntaba directamente a los judíos de forma específica. A partir de finales de los años 1930, pero sobre todo después de la Segunda Guerra Mundial, el régimen de Stalin intenta recuperar para su beneficio los antiguos prejuicios antisemitas heredados de la historia. La diplomacia soviética habría tenido un papel importante en la creación del Estado de Israel en 1948, pero el apoyo que le brindó también Estados Unidos empujó Stalin a revolverse contra él y a jugar la carta del antisionismo. Mientras que extiende su poder en el bloque del Este, Stalin reanuda con los mitos del «complot judío» que paradójicamente provenía del zarismo ("judeo-bolchevismo") que Stalin recicla en «infiltración en el seno del Partido» de «elementos oportunistas que persiguen sus propios objetivos». El régimen soviético no apunta a los judíos en tanto que etnia soviética (национальность), pero en tanto que grupo confesional y cultural internacional sospechoso de «cosmopolitismo» y de «vínculos con el imperialismo». La masacre de judíos soviéticos durante la Segunda Guerra es mencionada únicamente como crimen nazi contra los civiles soviéticos, todo vínculo con la «solución final» y la tesis del «judeo-bolchevismo» están ocultadas en tanto que «punto de vista nacionalista burgués»: el proyecto de publicación del Libro negro en 1947 provocan persecuciones selectivas contra judíos como la «noche de los poetas asesinados» o el supuesto «complot de los médicos».

rdf:langString L'expression antisémitisme stalinien désigne l'une des formes historiques de l'antisémitisme, qui est aussi l'une des dérives idéologiques du stalinisme : c'est l'un des instruments de la promotion du patriotisme soviétique à dominante russe, manifesté à travers des slogans et des actes antisémites non-systématiques et non obsessionnels (à la différence des régimes nazi et satellites) au gré des intérêts et des méfiances du régime, qui se servait des Juifs comme de tous les autres, pour en sacrifier ensuite comme il en a sacrifié bien d'autres. Ainsi lors des grandes purges militaires en 1937-1938, il y eut des Juifs parmi les victimes, mais « la terreur stalinienne ne visait pas les Juifs de façon spécifique, principale ou préférentielle ». Contrairement à leur statut dans les pays de l'Europe Centrale et orientale, « les Juifs gardèrent dans la bureaucratie et l'armée soviétique une place qui était sans précédent dans l'histoire ; ils continuèrent ainsi à occuper une position exceptionnelle dans le parti bolchévique. ». Mais à partir de la fin des années 1930, et surtout après la Seconde Guerre mondiale, le régime de Staline tente de récupérer à son profit les vieux préjugés antisémites hérités de l'histoire. La diplomatie soviétique avait joué un rôle décisif dans la naissance de l'État d'Israël en 1948, mais le soutien apporté à ce pays par les États-Unis pousse Staline à se retourner contre lui, et à jouer pleinement la carte de l'antisionisme. Alors que son pouvoir s'étend désormais au bloc de l'Est, Staline renoue de plus en plus avec les mythes du « complot juif » dont paradoxalement, le plus virulent était celui initialement russe blanc, puis nazi, du « judéo-bolchévisme » que Staline recycle en « infiltration au sein du Parti » d'« éléments opportunistes poursuivant leurs propres buts ». Le régime soviétique stalinien ne cible pas les juifs en tant qu'ethnie soviétique (национальность), mais en tant que groupe confessionnel et culturel international donc suspect de « cosmopolitisme » et de « liens avec l'impérialisme ». Le massacre des Juifs soviétiques durant la guerre est évoqué uniquement comme crime nazi contre les civils soviétiques, tout lien avec la « solution finale » et la thèse du « judéo-bolchévisme » étant occulté comme « point de vue nationaliste bourgeois » : la publication du Livre noir est arrêtée en 1947 puis éclatent des persécutions ciblées comme la « nuit des poètes assassinés » ou le prétendu « complot des blouses blanches ».

rdf:langString Pertanyaan tentang bagaimana sikap antisemitik Joseph Stalin telah menjadi bahasan yang luas oleh para sejarawan. Pada saat yang sama, contoh-contoh sikap antisemitisme dari Stalin telah disaksikan oleh orang-orang sezamannya dan didokumentasikan oleh sumber-sumber sejarah. Boris Bazhanov, sekretaris pribadi Stalin yang telah membelot ke Prancis pada tahun 1928, menulis memoar yang kritis terhadap Stalin pada tahun 1930, ia menuduh bahwa Stalin membuat ledakan antisemit yang kasar bahkan sebelum kematian Lenin.

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