Hamza Kastrioti

rdf:langString Hamza Kastrioti

rdf:langString Hamza Kastrioti (latin : Ameses Castriota; fl. ) était un noble albanais du XVe siècle. Il était le neveu de George Kastrioti Skanderbeg. Probablement né en territoire ottoman, après la mort de son père, il a été élevé par Skanderbeg, qui l'a emmené dans ses expéditions militaires. Après la bataille de Niš, il abandonna les troupes ottomanes avec son oncle Skanderbeg, se convertit au christianisme et changea son nom en Branilo. Il soutint le soulèvement de Skanderbeg et fut le vice-capitaine des troupes de Skanderbeg lorsqu'ils capturèrent Kruja en 1443. En 1448, les forces Skanderbeg sous le commandement de Hamza Kastrioti et Marin Spani occupèrent la ville fortifiée abandonnée de Baleč et la reconstruisirent pendant que Skanderbeg commençait sa guerre contre Venise. Hamza Kastrioti ne voulut pas rester dans la forteresse et se rendit à Drivast en quittant Marin Span avec 2000 soldats à Baleč. Marin trouva la forteresse nouvellement reconstruite peu sûre d'elle et se retira avec ses soldats vers Dagnum dès qu'il fut informé par son parent Peter Spani que les grandes forces vénitiennes se dirigeaient vers Baleč. Les forces vénitiennes reprennent Bale?, brûlent des parties en bois de la construction et détruisent les murs reconstruits de la forteresse Après le mariage de Skanderbeg et la naissance de son fils Gjon, Hamza Kastrioti a perdu tout espoir d'hériter de la principauté de Kastrioti. Il a déserté le sultan turc Mehmed II en 1457 et avec Isak-Beg, il était l'un des commandants des troupes ottomanes dans la bataille d'Ujebardha. Dans cette bataille, il fut capturé par les forces de Skanderbeg et placé en détention à Naples pour trahison. Il a ensuite été libéré et est allé rejoindre sa femme et ses enfants à Constantinople, et a continué à servir dans les hauts rangs ottomans. Sa perte a été considérée comme une tragédie par les Albanais. Il était l'un des généraux les plus brillants de Skanderbeg et était très populaire parmi les soldats pour ses manières, après Skanderbeg. Selon les historiens, avec lui, la Ligue de Lezhë a perdu la chance de poursuivre ce que Skanderbeg avait commencé