Giannis Papaioannou

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Ο Γιάννης Παπαϊωάννου (Κίος Μικράς Ασίας, 18 Ιανουαρίου 1913 - Πέραμα, 3 Αυγούστου 1972) ήταν Έλληνας συνθέτης, στιχουργός και ερμηνευτής του λαϊκού ρεμπέτικου τραγουδιού και ένας από τους κύριους και σημαντικότερους εκπροσώπους του. rdf:langString
Giannis Papaioannou (Greek: Γιάννης Παπαϊωάννου; January 18, 1913 – August 3, 1972) was a famous Greek musician and composer born in Kios, Ottoman Empire (now Gemlik, Turkey). In English his name is sometimes romanticized as Yannis, Ioannis or Yiannis. Most active in the 1940s, he wrote many songs, some of which are today considered classics of the rebetiko folk music style. These include: Pente Ellines Ston Adi, Kapetan Andreas Zeppo, Modistroula, Prin To Charama Monachos, and Fovamai Mi Se Chaso. His style retains much of the musical quality of the classical rebetika of the likes of Markos Vamvakaris, although the thematic content of the lyrics tends not to focus as much on the typically dark topics – drugs, death and prison – of earlier rebetika. rdf:langString
Yánnis Papaioánnou (en grec : Γιάννης Παπαϊωάννου, aussi romanisé Giannis Papaiannou ou Ioannis Papaioannou), était un musicien, compositeur et chanteur grec de rebetiko né le 18 janvier 1913 à Cios (actuelle Turquie) et décédé le 3 août 1972 en Grèce. À la fin des années 1950 et au début des années 1960, alors que la musique grecque des tavernes évolue vers plus de modernisation (électrification des instruments, amplification...), Papaioánnou continue de jouer dans la tradition des années 1930 et 1940 dans quelques clubs athéniens devant un public plus restreint. rdf:langString
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rdf:langString Ο Γιάννης Παπαϊωάννου (Κίος Μικράς Ασίας, 18 Ιανουαρίου 1913 - Πέραμα, 3 Αυγούστου 1972) ήταν Έλληνας συνθέτης, στιχουργός και ερμηνευτής του λαϊκού ρεμπέτικου τραγουδιού και ένας από τους κύριους και σημαντικότερους εκπροσώπους του.
rdf:langString Giannis Papaioannou (Greek: Γιάννης Παπαϊωάννου; January 18, 1913 – August 3, 1972) was a famous Greek musician and composer born in Kios, Ottoman Empire (now Gemlik, Turkey). In English his name is sometimes romanticized as Yannis, Ioannis or Yiannis. Most active in the 1940s, he wrote many songs, some of which are today considered classics of the rebetiko folk music style. These include: Pente Ellines Ston Adi, Kapetan Andreas Zeppo, Modistroula, Prin To Charama Monachos, and Fovamai Mi Se Chaso. His style retains much of the musical quality of the classical rebetika of the likes of Markos Vamvakaris, although the thematic content of the lyrics tends not to focus as much on the typically dark topics – drugs, death and prison – of earlier rebetika. He died in Athens on August 3, 1972 in a road accident and was buried in a cemetery in Kallithea, just southwest of Athens near the Tzitzifies area of south Kallithea where he, like many other rebetiko and laiko musicians, would frequently perform.
rdf:langString Yánnis Papaioánnou (en grec : Γιάννης Παπαϊωάννου, aussi romanisé Giannis Papaiannou ou Ioannis Papaioannou), était un musicien, compositeur et chanteur grec de rebetiko né le 18 janvier 1913 à Cios (actuelle Turquie) et décédé le 3 août 1972 en Grèce. De 1936 à 1939, il joue presque toutes les nuits dans un club d'Athènes au sein d'une formation comprenant Markos Vamvakaris et Yórgos Bátis. Il continue de jouer après-guerre. Particulièrement productif au cours des années 1940, il écrit de nombreuses chansons dont certaines sont considérées de nos jours comme des « classiques » du rebetiko. Ses chansons les plus célèbres sont notamment « Πεντε Ελληνες στον Αδη » (Cinq Grecs en enfer), « Καπεταν Ανδρεας Ζεππος » (Le capitaine Andreas Zeppos), « Η Μοδιστρούλα », « Πριν το χάραμα μονάχος » (Seul, avant l'aube) et « Φοβάμαι μη σε χάσω ». Son style est assez semblable à celui de Markos Vamvakaris. À la fin des années 1950 et au début des années 1960, alors que la musique grecque des tavernes évolue vers plus de modernisation (électrification des instruments, amplification...), Papaioánnou continue de jouer dans la tradition des années 1930 et 1940 dans quelques clubs athéniens devant un public plus restreint. Gail Holst décrit Yánnis Papaioánnou comme « un échalas avec un nez recourbé et un sourire inquiétant ». Son sourire est aussi qualifié de « sourire de squelette dément ». Gail Holst rapporte par ailleurs que Papaioánnou aurait un jour déclaré « je n'ai jamais eu de voix ». Yánnis Papaioánnou décède le 3 août 1972 dans un accident de voiture. Il est enterré à Kallithéa, au sud-ouest d'Athènes.
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