French law on colonialism
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The 23 February 2005 French law on colonialism (French: loi n° 2005-158 du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés, "Law No. 2005-158 of 23 February 2005 regarding recognition of the Nation and national contribution in favour of the French repatriates") was an act passed by the National Assembly, which imposed on high-school (lycée) teachers a requirement to teach the "positive values" of colonialism to their students (Article 4, Paragraph 2). The law, particularly the aforementioned paragraph and Articles 1 and 13, created a public uproar and drew massive opposition from the left, and Article 4, Paragraph 2 was repealed by president Jacques Chirac (UMP) at the beginning of 2006, after accusations of historical revision
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La loi no 2005-158 du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés est une loi française dont l'article 4 a été très contesté pour son ingérence dans l'histoire coloniale. Elle a été présentée et défendue au parlement par Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense durant le quinquennat du président Jacques Chirac.
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Loi portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés
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French law on colonialism
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The 23 February 2005 French law on colonialism (French: loi n° 2005-158 du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés, "Law No. 2005-158 of 23 February 2005 regarding recognition of the Nation and national contribution in favour of the French repatriates") was an act passed by the National Assembly, which imposed on high-school (lycée) teachers a requirement to teach the "positive values" of colonialism to their students (Article 4, Paragraph 2). The law, particularly the aforementioned paragraph and Articles 1 and 13, created a public uproar and drew massive opposition from the left, and Article 4, Paragraph 2 was repealed by president Jacques Chirac (UMP) at the beginning of 2006, after accusations of historical revisionism from various teachers and historians, including Pierre Vidal-Naquet, Claude Liauzu, Olivier Le Cour Grandmaison and Benjamin Stora. Its Article 13 was also criticized as it supported former Organisation armée secrète (OAS) militants.
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La loi no 2005-158 du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés est une loi française dont l'article 4 a été très contesté pour son ingérence dans l'histoire coloniale. Elle a été présentée et défendue au parlement par Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense durant le quinquennat du président Jacques Chirac. Elle fait partie des quatre lois mémorielles françaises. Elle a été à l'origine d'une vive controverse, soulevant l'opposition d'historiens et de juristes[réf. nécessaire], notamment du fait de son article 4 alinéa 2 qui disposait que :« Les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, et accordent à l’histoire et aux sacrifices des combattants de l’armée française issus de ces territoires la place éminente à laquelle ils ont droit. »Cet alinéa a été abrogé par décret du 15 février 2006.
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