Freemasonry and women
http://dbpedia.org/resource/Freemasonry_and_women an entity of type: Thing
El presente artículo aborda el tema de las mujeres en la masonería en distintas épocas y países.
rdf:langString
La massoneria femminile, e la donna in massoneria, sono da sempre fonte di grande discussione, anche all'interno della massoneria stessa.Pur esistendo logge, e obbedienze sia miste, che solo di donne, secondo una parte della massoneria, le donne non possono ricevere l'iniziazione, da un punto di vista strettamente esoterico, questo viene giustificato dal fatto che l'iniziazione sia di tipo solare, e quindi maschile.Oltre ai meri motivi esoterici, ci sono motivazioni legate ai regolamenti, ed in particolare ai “landmark”, ovvero le Costituzioni redatte nel 1723 ad opera e firma di James Anderson, Gran Sorvegliante nella Gran Loggia di Londra, e poi divenute la base per la nascita di tutte le comunioni massoniche del mondo.
rdf:langString
Freemasonry has had a complex relationship with women, which can be readily divided into many phases with no demonstrable relationship to each other until the 20th century. A few women were involved in Freemasonry before the 18th century; however the first printed constitutions of the Premier Grand Lodge of England appeared to bar them from the Craft forever.
rdf:langString
L'admission des femmes en franc-maçonnerie est progressive et très diverse selon les époques et les pays. En 2016, dans un nombre croissant de pays, notamment en Europe, elles peuvent rejoindre des obédiences maçonniques mixtes ou exclusivement féminines, ces obédiences faisant généralement partie du courant adogmatique ou libéral de la franc-maçonnerie.
rdf:langString
rdf:langString
Mujeres en la masonería
rdf:langString
Freemasonry and women
rdf:langString
Femmes en franc-maçonnerie
rdf:langString
Massoneria femminile
rdf:langString
Mulheres e maçonaria
xsd:integer
6488321
xsd:integer
1122387451
rdf:langString
Freemasonry has had a complex relationship with women, which can be readily divided into many phases with no demonstrable relationship to each other until the 20th century. A few women were involved in Freemasonry before the 18th century; however the first printed constitutions of the Premier Grand Lodge of England appeared to bar them from the Craft forever. The French Lodges of Adoption which spread through Continental Europe during the second half of the 18th century admitted Masons and their female relatives to a system of degrees parallel, but unrelated to the original rite. In the early 20th century, these were revived as women-only lodges and later they adopted male degrees giving rise to French women's Masonry in the 1950s. 18th-century British lodges and their American offshoots remained male only. In the late 1800s, rites similar to adoption emerged in the United States, allowing masons and their female relatives to participate in ritual together. These bodies, however, were more careful to discriminate between the mixed ritual and the genuine Freemasonry of the men. In the 1890s, mixed lodges following a standard Masonic ritual started to appear in France, and quickly spread to other countries. Women-only jurisdictions appeared soon afterwards. As a general rule, the admission of women is now recognised in Continental (Grand Orient) jurisdictions. In Anglo-American Freemasonry, neither mixed nor all-female lodges are officially recognised, although unofficial relations can be cordial, with premises sometimes shared.
rdf:langString
El presente artículo aborda el tema de las mujeres en la masonería en distintas épocas y países.
rdf:langString
L'admission des femmes en franc-maçonnerie est progressive et très diverse selon les époques et les pays. En 2016, dans un nombre croissant de pays, notamment en Europe, elles peuvent rejoindre des obédiences maçonniques mixtes ou exclusivement féminines, ces obédiences faisant généralement partie du courant adogmatique ou libéral de la franc-maçonnerie. Historiquement, et tout en restant très restreinte, la présence de femmes du métier dans la maçonnerie opérative et sur des chantiers de construction est attestée dès le XIIIe siècle. Si y accéder ne leur est pas strictement interdit, en revanche le statut des femmes en général à cette époque ne leur permet d'appartenir à des corporations que sous certaines conditions très spécifiques. Dans la franc-maçonnerie spéculative, la première femme initiée aurait été Elisabeth Aldworth, reçue en Irlande vers 1712 dans des circonstances tout à fait inhabituelles. Après la création en 1717 de la première obédience maçonnique en Angleterre et la promulgation des constitutions d'Anderson, l'interdiction de les recevoir en loge maçonnique est institutionnalisée. Plus aucune femme n'est admise en tant que franc-maçonne au sens strict, jusqu'à l'initiation en France de Maria Deraismes le 14 janvier 1882. Cependant, dans cet intervalle, il s'avère qu'apparaissent différents ordres mixtes d'inspiration maçonnique, tels que la maçonnerie dite « d'adoption », en France, ou encore l'« Eastern Star » aux États-Unis. La création de la première obédience mixte en France à la fin du XIXe siècle est le début d'un long processus d'ouverture aux femmes d'une franc-maçonnerie spéculative, dont les obédiences et les pratiques sont exclusivement masculines depuis sa création. Au terme de multiples remises en cause, qui rejoignent parfois les combats féministes du début du XXe siècle, celui-ci voit l'installation de la première obédience féminine et le développement aux côtés de la branche mixte d'une franc-maçonnerie indépendante, ouverte aux femmes et pratiquant les rites maçonniques historiques, dans leurs plénitudes philosophiques et initiatiques. Si des interdictions concernant leur admission perdurent au XXIe siècle, et ce notamment dans la franc-maçonnerie dite « régulière » du courant de la Grande Loge unie d'Angleterre, cette dernière ne conteste plus la qualité de franc-maçonne des femmes initiées au sein de certaines obédiences mixtes anglaises ou de par le monde.
rdf:langString
La massoneria femminile, e la donna in massoneria, sono da sempre fonte di grande discussione, anche all'interno della massoneria stessa.Pur esistendo logge, e obbedienze sia miste, che solo di donne, secondo una parte della massoneria, le donne non possono ricevere l'iniziazione, da un punto di vista strettamente esoterico, questo viene giustificato dal fatto che l'iniziazione sia di tipo solare, e quindi maschile.Oltre ai meri motivi esoterici, ci sono motivazioni legate ai regolamenti, ed in particolare ai “landmark”, ovvero le Costituzioni redatte nel 1723 ad opera e firma di James Anderson, Gran Sorvegliante nella Gran Loggia di Londra, e poi divenute la base per la nascita di tutte le comunioni massoniche del mondo.
xsd:nonNegativeInteger
46955