Education in Tibet
http://dbpedia.org/resource/Education_in_Tibet an entity of type: MilitaryUnit
Education in Tibet is the public responsibility of the Ministry of Education of the People's Republic of China. Education of ethnic Tibetans is partly subsidized by the government. Primary and secondary education is compulsory, while preferential policies aimed at Tibetans seek to enroll more students in vocational or higher education.
rdf:langString
L'éducation au Tibet remonte au VIIe siècle et au roi Songtsen Gampo, sous le règne duquel l'écriture tibétaine fut introduite. Selon , un spécialiste des religions, si en 1959 quasiment tous les moines (un tiers des hommes) et toutes les nonnes (un quart des femmes) savaient au moins lire et écrire, quasiment tous les autres Tibétains de l'époque étaient analphabètes. Pourtant, selon Frédérick O'Connor, un officier britannique ayant vécu au Tibet dans les années 1900, le nombre de gens du peuple sachant lire et écrire était surprenant, le chef de chaque village et au moins un ou deux membres de chaque famille étaient relativement instruits. Tous les moines étaient alphabétisés, de même que les enfants des familles nobles. La majorité des villes comportaient des écoles ouvertes à tous pour
rdf:langString
rdf:langString
Education in Tibet
rdf:langString
Système éducatif au Tibet
xsd:integer
25199505
xsd:integer
1106265438
rdf:langString
Education in Tibet is the public responsibility of the Ministry of Education of the People's Republic of China. Education of ethnic Tibetans is partly subsidized by the government. Primary and secondary education is compulsory, while preferential policies aimed at Tibetans seek to enroll more students in vocational or higher education.
rdf:langString
L'éducation au Tibet remonte au VIIe siècle et au roi Songtsen Gampo, sous le règne duquel l'écriture tibétaine fut introduite. Selon , un spécialiste des religions, si en 1959 quasiment tous les moines (un tiers des hommes) et toutes les nonnes (un quart des femmes) savaient au moins lire et écrire, quasiment tous les autres Tibétains de l'époque étaient analphabètes. Pourtant, selon Frédérick O'Connor, un officier britannique ayant vécu au Tibet dans les années 1900, le nombre de gens du peuple sachant lire et écrire était surprenant, le chef de chaque village et au moins un ou deux membres de chaque famille étaient relativement instruits. Tous les moines étaient alphabétisés, de même que les enfants des familles nobles. La majorité des villes comportaient des écoles ouvertes à tous pour une somme modique, et Lhassa en comportait plus de vingt. Au début du XXe siècle, le gouvernement tibétain lui-même, sous la direction du 13e dalaï-lama, a fait un certain nombre de tentatives éphémères de mettre sur pied un système d'éducation séculier moderne au Tibet, en envoyant 4 jeunes Tibétains en Angleterre en 1912 et en ouvrant une école anglaise en 1923. La Chine instaurera au Tibet un système éducatif laïque à partir des années 1950. Selon Michael Harris Goodman, les habitants de Lhassa constatèrent que les écoles primaires chinoises nouvellement ouvertes (dans les années 1950) étaient des instruments de propagande communiste anti-tibétaine. Pour Catriona Bass, en 1999 les progrès des autorités chinoises pour améliorer l'éducation au Tibet depuis 1950 étaient très inférieurs à ceux réalisés dans le reste de la Chine. De même, pour Vegard Iversen en 2002 les rapports sur l'éducation au Tibet contredisent les déclarations des autorités chinoises qui affirment poursuivre des efforts sérieux pour le développement du Tibet.
xsd:nonNegativeInteger
11811