Clotilde Niragira

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Clotilde Niragira (1968 – 19 February 2021) was a Burundian politician and lawyer. She served as head of three separate ministries in Pierre Nkurunziza's government and was Secretary-General of Burundi's Truth and Reconciliation Commission. rdf:langString
Clotilde Niragira, née en 1968 à Bugenyuzi dans la province de Karuzi et morte le 19 février 2021 à Nairobi, est une femme politique burundaise appartenant au groupe ethnique des Hutus ; elle est ministre de la Justice et Garde des Sceaux du Burundi sous la présidence de Pierre Nkurunziza. rdf:langString
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rdf:langString Clotilde Niragira
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rdf:langString Nairobi, Kenya
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rdf:langString Commune of Bugenyuzi, Burundi
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xsd:date 2021-02-19
rdf:langString Head of Civil Cabinet/President's Deputy Chief of Staff
rdf:langString Secretary-General of the Truth and Reconciliation Commission
rdf:langString Didace Kiganahe
rdf:langString Laurent Nzeyimana
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xsd:integer 2005 2007 2009 2011 2015
rdf:langString Clotilde Niragira (1968 – 19 February 2021) was a Burundian politician and lawyer. She served as head of three separate ministries in Pierre Nkurunziza's government and was Secretary-General of Burundi's Truth and Reconciliation Commission.
rdf:langString Clotilde Niragira, née en 1968 à Bugenyuzi dans la province de Karuzi et morte le 19 février 2021 à Nairobi, est une femme politique burundaise appartenant au groupe ethnique des Hutus ; elle est ministre de la Justice et Garde des Sceaux du Burundi sous la présidence de Pierre Nkurunziza. Afin de mettre en place une réconciliation nationale entre les Tutsis et les Hutus et en respect avec les accords d'Arusha en 2000, le 10 janvier 2006, Clotilde Niragira a décidé la libération de 673 premiers « prisonniers politiques ». La libération au Burundi de « prisonniers politiques », essentiellement des Hutus accusés de massacres de Tutsis lors de la guerre civile qui a débuté en 1993 avec l'assassinat du président Hutu Melchior Ndadaye, premier président élu démocratiquement, suscite une vive polémique. À terme, quelque 4 000 des 8 000 détenus pourraient bénéficier de cette mesure, selon l’Association burundaise pour la protection des droits humains et des personnes détenues (Aprodeh). Elle a par la suite été ministre de la Solidarité nationale, des Droits de l'homme et du Genre.
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