Cinema of Georgia

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Georgiens Filmgeschichte begann unmittelbar vor dem Ersten Weltkrieg. Nach der Eingliederung des Landes in die Sowjetunion entstand bereits in den 1920er Jahren eine gut organisierte staatliche Filmindustrie, die in den 1980er Jahren alle zwölf Monate sieben bis acht Spielfilme und eine Reihe von Dokumentar- und Trickfilmen produzierte. Georgische Filme fielen frühzeitig durch Originalität und Kritik auf, wurden deshalb immer wieder von der Zensur unterdrückt. Nach der staatlichen Unabhängigkeit ging es mit der Filmproduktion in Georgien bergab. rdf:langString
The cinema of Georgia has been noted for its cinematography in Europe. Italian film director Federico Fellini was an admirer of the Georgian film: "Georgian film is a completely unique phenomenon, vivid, philosophically inspiring, very wise, childlike. There is everything that can make me cry and I ought to say that it (my crying) is not an easy thing." rdf:langString
Sinema Georgia dikenal karena sinematografinya di Eropa. rdf:langString
O cinema da Geórgia corresponde à produção cinematográfica daquele país europeu, incluindo os anos em que esteve sob o domínio soviético. Partilhando parte da mesma histórias com outros países que foram membros da União Soviética, o cinema georgiano tem o reconhecimento de diretores famosos, como Frederico Fellini, que o definiu como “um fenômeno estranho, sofisticado, inspirador e avassalador. rdf:langString
Кинематограф Грузии — национальное киноискусство Грузии. rdf:langString
Le cinéma géorgien a d'abord été reconnu pour sa grande créativité en Union soviétique et en Europe occidentale au XXe siècle, puis sur les cinq continents au XXIe siècle. Il a pris son essor au début du XXe siècle par le tournage de documentaires. Le premier long métrage est réalisé en 1918. Il s'est ensuite affirmé comme une composante originale du cinéma soviétique et reconnue dans le monde occidental, avec des réalisateurs primés au Festival de Cannes ou à la Mostra de Venise en particulier (Tenguiz Abouladze, Mikhaïl Kalatozov, Nana Djordjadze, Otar Iosseliani,...) : plusieurs dizaines de films étaient tournés chaque année dans les studios de Tiflis, avec une légèreté toute méridionale, véhiculant souvent légendes et histoire locale, échappant ainsi à la censure contrairement aux stud rdf:langString
rdf:langString Cinema of Georgia
rdf:langString Georgischer Film
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rdf:langString Apollo Cinema in Batumi
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rdf:langString Georgiens Filmgeschichte begann unmittelbar vor dem Ersten Weltkrieg. Nach der Eingliederung des Landes in die Sowjetunion entstand bereits in den 1920er Jahren eine gut organisierte staatliche Filmindustrie, die in den 1980er Jahren alle zwölf Monate sieben bis acht Spielfilme und eine Reihe von Dokumentar- und Trickfilmen produzierte. Georgische Filme fielen frühzeitig durch Originalität und Kritik auf, wurden deshalb immer wieder von der Zensur unterdrückt. Nach der staatlichen Unabhängigkeit ging es mit der Filmproduktion in Georgien bergab.
rdf:langString The cinema of Georgia has been noted for its cinematography in Europe. Italian film director Federico Fellini was an admirer of the Georgian film: "Georgian film is a completely unique phenomenon, vivid, philosophically inspiring, very wise, childlike. There is everything that can make me cry and I ought to say that it (my crying) is not an easy thing."
rdf:langString Le cinéma géorgien a d'abord été reconnu pour sa grande créativité en Union soviétique et en Europe occidentale au XXe siècle, puis sur les cinq continents au XXIe siècle. Il a pris son essor au début du XXe siècle par le tournage de documentaires. Le premier long métrage est réalisé en 1918. Il s'est ensuite affirmé comme une composante originale du cinéma soviétique et reconnue dans le monde occidental, avec des réalisateurs primés au Festival de Cannes ou à la Mostra de Venise en particulier (Tenguiz Abouladze, Mikhaïl Kalatozov, Nana Djordjadze, Otar Iosseliani,...) : plusieurs dizaines de films étaient tournés chaque année dans les studios de Tiflis, avec une légèreté toute méridionale, véhiculant souvent légendes et histoire locale, échappant ainsi à la censure contrairement aux studios de Moscou. Après la Seconde Guerre mondiale, l'humour et la dérision permettent progressivement une critique plus ouverte de la société. À partir des années 1990, après la restauration de l'indépendance de la Géorgie, les moyens financiers faisant défaut, toute une génération de cinéastes produit à l'étranger ou s'expatrie comme l'avaient anticipé plus tôt quelques-uns (Otar Iosseliani, Nana Djordjadze) : la guerre civile à Tbilissi la sécession de l'Abkhazie — traumatismes pour l'ensemble de la population, mais surtout pour les enfants qu'ils étaient — ou la guerre russo-géorgienne de 2008, fournissent à certains des thèmes lourds abordés sous l'angle du prisme personnel (Nana Ekvtimishvili, Téona Grenade, George Ovashvili,...), alors que d'autres s'intéressent aux thèmes de la société contemporaine (Levan Akin, Rusudan Chkonia, Tinatin Kajrishvili, Dito Tsintsadze, Zaza Urushadze, George Varsimashvili,...). Depuis 1996, treize films géorgiens ont été sélectionnés pour les Oscars du cinéma, à Los Angeles ; l'un d'entre eux a été inscrit au palmarès des meilleurs films en langue étrangère en 1997. Parallèlement le cinéma documentaire s'exprime, avec Nino Kirtadzé en particulier sur les télévisions européennes, ainsi que le cinéma d'animation, avec Revaz Gabriadze dont l'une des productions est sélectionnée pour les Oscars du cinéma en 2020.
rdf:langString Sinema Georgia dikenal karena sinematografinya di Eropa.
rdf:langString O cinema da Geórgia corresponde à produção cinematográfica daquele país europeu, incluindo os anos em que esteve sob o domínio soviético. Partilhando parte da mesma histórias com outros países que foram membros da União Soviética, o cinema georgiano tem o reconhecimento de diretores famosos, como Frederico Fellini, que o definiu como “um fenômeno estranho, sofisticado, inspirador e avassalador.
rdf:langString Кинематограф Грузии — национальное киноискусство Грузии.
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