Bassae Frieze

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The Bassae Frieze is the high relief marble sculpture in 23 panels, 31 m long by 0.63 m high, made to decorate the interior of the cella of the Temple of Apollo Epikourios at Bassae. It was discovered in 1811 by Carl Haller and Charles Cockerell, and excavated the following year by an expedition of the Society of Travellers led by Haller and Otto von Stackelberg. This team cleared the temple site in an endeavour to recover the sculpture, and in the process revealed it was part of the larger sculptural programme of the temple including the metopes of an external Doric frieze and an over-life-size statue. The find spots of the internal Ionic frieze blocks were not recorded by the early archaeologists, so work on recreating the sequence of the frieze has been based on the internal evidence of rdf:langString
La frise du temple de Bassæ est un bas-relief de marbre, sculpté sur 23 panneaux de 31 m de long et 61 cm de haut. La frise décorait l'intérieur de la cella du temple d'Apollon à Bassæ. La frise a été découverte en 1811 par Karl Haller von Hallerstein et Charles Cockerell et excavée les années suivantes par une expédition de la Société des Voyageurs, dirigée par Karl Haller et Otto von Stackelberg. Cette équipe nettoya le site afin de mettre au jour les sculptures. Ces travaux mirent en évidence que ces bas-reliefs faisaient partie d'un ensemble de sculptures plus large incluant les métopes d'une frise dorique externe et de statues plus grandes que nature. La recherche de fragments des blocs ioniques internes à la frise n'est pas mentionnée par les premiers archéologues. L'assemblage de la rdf:langString
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rdf:langString The Bassae Frieze in the British Museum
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rdf:langString The Bassae Frieze is the high relief marble sculpture in 23 panels, 31 m long by 0.63 m high, made to decorate the interior of the cella of the Temple of Apollo Epikourios at Bassae. It was discovered in 1811 by Carl Haller and Charles Cockerell, and excavated the following year by an expedition of the Society of Travellers led by Haller and Otto von Stackelberg. This team cleared the temple site in an endeavour to recover the sculpture, and in the process revealed it was part of the larger sculptural programme of the temple including the metopes of an external Doric frieze and an over-life-size statue. The find spots of the internal Ionic frieze blocks were not recorded by the early archaeologists, so work on recreating the sequence of the frieze has been based on the internal evidence of the surviving slabs and this has been the subject of controversy. Archaeological research has determined that the site of the present ruin of the temple of Apollo was in continuous use since the archaic period, the existing temple is the last of four on the site and designated Apollo IV. Pausanias records that this last sanctuary was dedicated to Apollo Epikourios (helper or succourer) by the Phigalians in thanks for delivery from the plague of 429 BC. The architecture of the temple is one of the most strikingly unusual examples of the period, departing significantly from the norms of Doric and Ionic practice and including what is perhaps the first use of the Corinthian order and the first temple to have a continuous frieze around the interior of the naos. From the style of the frieze it belongs to the High Classical period, probably carved around 400 BC. Nothing is known of its authorship: despite an ascription of the metopes to Paionios (since refuted), the frieze cannot be associated with any sculptor, workshop or school. Instead Cooper identifies the artists of the frieze on morellian evidence as a group of three anonymous masters. The frieze was bought at auction by the British Museum in 1815 where it is now on permanent display in a specially constructed room in Gallery 16. While the British Museum possesses most of the sculpture, eight fragments believed to belong to the frieze are in the National Museum, Athens. Copies of this frieze decorate the walls of the Ashmolean Museum and London's Travellers Club.
rdf:langString La frise du temple de Bassæ est un bas-relief de marbre, sculpté sur 23 panneaux de 31 m de long et 61 cm de haut. La frise décorait l'intérieur de la cella du temple d'Apollon à Bassæ. La frise a été découverte en 1811 par Karl Haller von Hallerstein et Charles Cockerell et excavée les années suivantes par une expédition de la Société des Voyageurs, dirigée par Karl Haller et Otto von Stackelberg. Cette équipe nettoya le site afin de mettre au jour les sculptures. Ces travaux mirent en évidence que ces bas-reliefs faisaient partie d'un ensemble de sculptures plus large incluant les métopes d'une frise dorique externe et de statues plus grandes que nature. La recherche de fragments des blocs ioniques internes à la frise n'est pas mentionnée par les premiers archéologues. L'assemblage de la frise, fondé sur des éléments internes aux dalles restantes, est sujet à controverse. La recherche archéologique a déterminé que le site des ruines du temple d'Apollon a été utilisé depuis la Grèce archaïque. Pausanias rappelle que ce dernier sanctuaire était dédié à Apollon Épikourios (Apollon de bon secours) par les Phigaliens, en remerciement de son aide lors de la peste de -429. L'architecture du temple, l'une des plus remarquables et inhabituelles de cette période, s'éloigne significativement des normes doriques et ioniques. Il est peut-être l'un des premiers exemples d’utilisation de l'ordre corinthien et le premier temple à avoir une frise continue autour de la cella intérieure. Le style de la frise la situe dans la haute période classique : elle a été probablement sculptée vers 400 av. J.-C. Rien n'est connu sur ses auteurs : leur attribution à Paionios a été réfutée et la frise ne peut être associée à aucun sculpteur, atelier ou école. À l'opposé, Cooper identifie les auteurs de la frise comme un groupe de trois maîtres anonymes. La frise a été achetée en 1815 par le British Museum, où elle fait maintenant partie de l'exposition permanente, dans une salle qui lui est dédiée de la seizième galerie. Alors que le British Museum possède la plus grande partie de l'œuvre, huit fragments réputés appartenir à la frise sont exposés au musée national archéologique d'Athènes. Des copies de cette frise décorent les murs de l'Ashmolean Museum et du Travellers Club de Londres.
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